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Graphique de la semaine de DWS. Dans les 12 prochains mois, les banques centrales continueront à être plus agressives par rapport aux attentes du marché, notamment en Europe.

Le pire est-il déjà passé pour les marchés ou devons-nous nous préparer à de nouveaux reculs? Il est actuellement difficile de répondre correctement à cette question.

Une récession en Europe devrait être évitée grâce à des programmes budgétaires massifs.

L'impact le plus important pourrait bien venir des importations d'énergie, principalement du gaz naturel. Un choc important sur le prix du gaz, ou même une réduction des livraisons.

«La crise du coronavirus nous livre quelques leçons qui joueront un rôle important dans l'année à venir et au-delà», a déclaré Stefan Kreuzkamp, Chief Investment Officer DWS.

«DWS ne prévoit pas de changement des taux d'intérêt avant 2023, ni aux Etats-Unis ni en Europe», déclare le CIO Stefan Kreuzkamp.

«Les marchés ont intégré le scénario optimiste d’une vaccination massive en 2021 dans leur évaluation, et il y aura peu de tolérance pour des erreurs», estime Stefan Kreuzkamp de DWS.

Nous restons modérément positifs sur les marchés boursiers pour les douze prochains mois.

Dans l'état actuel des choses, Donald Trump et le Parti républicain ont fait mieux que prévu. Une victoire écrasante des démocrates semble désormais exclue.

Les décideurs ont brossé un tableau généralement optimiste des perspectives de l'économie américaine.