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«Le système financier britannique est prêt pour le Brexit quelle que soit la forme qu’il prendra», a assuré le gouverneur de la Banque d’Angleterre (BoE), Mark Carney.

Les deux accusées écopent de 3 ans de prison pour avoir utilisé des informations d’insider.

«Il est plus probable que nous assurerons un soutien» si le Royaume-Uni sort de l’UE sans accord, a expliqué le gouverneur de la Banque d’Angleterre.

«L’accord de retrait n’est pas ouvert à la renégociation», rappelle le président du Conseil européen Donald Tusk.

Le favori au poste de Premier ministre britannique assure qu’un départ de l’UE même sans accord n’entraînerait pas de nouveaux droits de douane dans l’immédiat. «Faux», rétorque Mark Carney.

«Le test de résistance révélera la capacité du système financier britannique à supporter les risques provoqués par le changement climatique», indique la BoE.

«La probabilité d’un Brexit sans accord a augmenté» dans l’esprit des acteurs économiques, ont jugé les membres du Comité de politique monétaire lors de leur dernière réunion.

A l’exception de Rory Stewart, pour qui un «no-deal» serait «profondément dommageable», les candidats ont affirmé être prêts à faire sortir le Royaume-Uni de l’UE sans accord le 31 octobre.

Londres devra assurer le «respect de ses obligations financières contractées par le Royaume-Uni en tant qu’Etat membre», rappelle la Commission européenne.

La mesure doit permettre à l’assureur de réduire à terme ses dépenses de 300 millions de livres par an.