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La multinationale rhénane espère obtenir un feu vert du gendarme sanitaire aux Etats-Unis au troisième trimestre de l’an prochain.

Après une analyse «approfondie» de l’environnement de développement dans les traitements contre le coronavirus, le géant pharmaceutique bâlois souhaite se focaliser sur d’autres programmes dans ce domaine.

La fondation considère que «l’option choisie n’est pas dans l’intérêt des actionnaires minoritaires en termes de droits de vote».

Le Comité des médicaments à usage humain est favorable à l’homologation de Ronapreve pour traiter les patients adultes et adolescents contre la COVID-19, sous conditions.

L’agence de notation estime que le fruit de la cession de la participation dans Roche à ce dernier devrait principalement servir à des investissements et à des acquisitions.

Malgré cette importante transaction, et en dépit du fait que Roche la financera en s’endettant, le profil de crédit du géant pharma bâlois reste conforme à la catégorie de note «Aa3».

Les 53,3 millions de titres au porteur représentent un total d’environ 20 milliards de francs ou de près de 21 milliards de dollars.

Le nouveau produit pourra désormais être utilisé dans les propres laboratoires des chercheurs en oncologie.

La direction affine son ambition de croissance pour l’ensemble de l’exercice autour de 5%, contre entre 1% et 5% jusqu’à présent.

L’opération s’inscrit dans le cadre de la récente ouverture de l’application Upath aux développeurs tiers, annoncée il y a un mois.