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«Tout comme nos clients, la Banque a bénéficié d’un contexte financier favorable, avec notamment des taux d’intérêt élevés et des performances solides au premier semestre», déclare Guy de Picciotto, CEO de l’UBP.

De janvier à juin, l’établissement cantonal a dégagé un résultat d’exploitation de 83,3 millions, 1,1% de moins par rapport à l’année dernière.

«Nous abordons la seconde moitié de l'année avec confiance et restons déterminés à poursuivre notre croissance, tout en continuant à innover et à offrir un service exceptionnel à nos clients», déclare Marcos Esteve, CEO de Banque Heritage.

La direction s’attend à un second semestre «passionnant» avec un portefeuille bien positionné.

Alors que les entrées de commandes reculent de 3% sur un an, le chiffre d’affaires du géant zurichois de l’électrotechnique croît de 1% à 8,24 milliards. L’action chute de 6%.

La direction relève une nouvelle fois ses ambitions pour l’ensemble de l’exercice, en termes de rentabilité essentiellement.

Le spécialiste des fluides table désormais sur une progression des entrées de commandes de 9 à 12%, contre une hausse de 2 à 5% attendue jusqu’à présent.

La banque s’attend à une croissance positive, mais inférieure à la moyenne, pour l’année en cours.

Entre janvier et fin juin, le groupe a vu ses ventes nettes reculer de 1,9% sur un an à 1,54 milliard de francs.

La nouvelle feuille de route comprend un objectif de croissance du chiffre d’affaires hors effets de change de 9 à 12%, contre 4 à 6% formulé fin mai. L’action s’envole.