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JPMorgan mais aussi Citigroup, Wells Fargo et PNC, ont surtout profité de la vive hausse des taux d’intérêt engagée depuis un an par la Fed.

Le chiffre d’affaires de l’établissement augmente de 12% pour atteindre 21,4 milliards de dollars. Le bénéfice net grimpe de 7% à 4,6 milliards de dollars.

Au premier trimestre, le chiffre d’affaires atteint un nouveau record à la faveur de la hausse des taux d’intérêt.

Le groupe dirigé par Larry Fink a réalisé entre janvier et fin mars un chiffre d’affaires de 4,2 milliards de dollars, en baisse de 10% sur un an, mais supérieur aux anticipations des analystes.

Pour le président de la banque privée zurichoise, le doublement du volume passera par la croissance organique mais également par des acquisitions «ciblées».

Face à la hausse des coûts enregistrés cette année, la société poursuit son relèvement des prix afin «d’entièrement compenser la hausse des coûts des intrants».

Le produit d’exploitation a crû de 2,7% à 150 millions de francs, alors que les charges ont enflé de 1,7% à 67,6 millions entre janvier et fin mars.

«Cette forte croissance des revenus confirme la stratégie à long terme qui consiste à se concentrer sur la croissance des marchés industriel et automobile», a souligné Stephan Zizala, directeur général d’U-blox.

La multinationale genevoise a bouclé l’exercice sur un profit net de 2,36 milliards de dollars, après 726 millions en 2021.

Ce succès est attribué à l'initiative de réalignement stratégique de la banque, à la gestion experte des investissements et à la priorité accordée à l'innovation et à la croissance à long terme.