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Le groupe immobilier bâlois n’a pas échappé à l'impact de la hausse des taux d’intérêt. Les revalorisations sont ressorties à près de -7,0 millions, après un apport positif de 42,3 millions au premier semestre 2022.

L’établissement dirigé par Livia Moretti améliore son bénéfice de près de 50% à 26,7 millions de francs.

Les revenus issus des loyers ont progressé de 7,7% à 32,8 millions de francs sur les six premiers mois de 2023, portés notamment par l’acquisition l’année dernière de Renggli et une hausse des loyers.

Sur les six premiers mois de 2023, l’établissement a inscrit un bénéfice en hausse de 4,5% à 16,5 millions de francs.

A fin juin 2023, les avoirs sous gestion de Lombard Odier s’élevaient à 198 milliards de francs, en hausse de 4% par rapport à fin décembre 2022.

Valartis a payé les pots cassés de la dépréciation du rouble par rapport au franc, de 18,9%, qui a notamment pesé sur les investissements détenus par ENR, société d’investissement cotée sur SIX et active en Russie.

Le chiffre d’affaires a progressé de 1,9% à 339,9 millions de dollars. Dans le même temps, le résultat opérationnel Ebitda est passé en terrain négatif à -3,5 millions de dollars, contre +0,5 million au premier semestre de l’exercice 2022.

Le résultat net selon IFRS s’est hissé à 744 millions, après un déficit 592 millions un an plus tôt.

De janvier à juin, le résultat d’exploitation (Ebit) du groupe a fortement reculé de 26,1 millions à 3,5 millions, la marge afférente plongeant de 64,6% à 22,2%.

Le produit d’exploitation a enflé de 11% à 267,2 millions de francs, tandis que les charges n’ont progressé que de 6% à 164,3 millions.