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Ces établissements doivent développer leurs services numériques et critères de d’investissements durables sous peine de voir leurs clients se tourner vers la concurrence.

La seconde banque allemande a dû inscrire à fin mars 465 millions d’euros de provisions pour couvrir notamment les départs de salariés.

Les «licenciements ne sont de facto plus possibles», se réjouissent les syndicats. La suppression prévue de 10'000 postes sera donc plus «sociale».

La banque espagnole compterait aussi fermer un total de 530 agences, selon le syndicat Commissions Ouvrières.

L’absorption de Bankia engendrera également la fermeture d’un quart des agences, annonce Commissions ouvrières.

L’abandon du prêt de GLKB, d’un montant avoisinant les 4,1 millions de francs, ne se fera que si tous les créanciers et actionnaires renoncent eux aussi à leurs créances.

La deuxième banque allemande annonce un plan d’économie englobant la fermeture de 340 filiales en Allemagne.

Ce plan s’inscrit dans le cadre d’un projet plus large de transformation, annoncé en novembre par la filiale de BPCE et visant à réaliser 350 millions d’économies d’ici à la fin 2024.

«Le moratoire sur la restructuration de la dette peut garantir la continuation de certaines entreprises et de ses emplois», explique Alessandro Farsaci.

L’établissement avait déjà congédié un peu moins de 400 personnes en septembre.