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Ce rebond redonne une lueur d’espoir à l’industrie allemande, affaiblie par la crise énergétique, l’inflation, et la hausse des taux d’intérêts qui ont provoqué une baisse de la consommation.

L’entreprise zougoise détient désormais 12 usines en Inde, pays dans lequel elle est implantée depuis presque 40 ans.

Le gouvernement allemand espère une reprise dans les prochains mois mais des économistes voient le pays rester en récession jusqu’à la fin de l’année, pénalisée par la faiblesse de la demande.

L’indice des prix à la production et à l’importation s’est établi à 109,5 points en avril, (base 100 en décembre 2020), soit 0,2% de plus qu’en mars et 1% de plus que lors de la même période en 2022.

L’indice des prix à la production et à l’importation a progressé de 0,2% par rapport à février pour atteindre 109,3 points, après un repli de 0,2% le mois précédent.

«Il est dans l’intérêt de l’énergie mondiale de maintenir les prix mondiaux du pétrole au bon niveau. Que les autres pays soient satisfaits ou pas, c’est leur affaire», affirme Dmitri Peskov.

Les premiers lots pour le compte de clients devraient être remplis dès le mois prochain, précise le géant rhénan.

Le prix du baril de West Texas Intermediate (WTI), variété américaine de référence, vaut aujourd’hui environ un tiers de moins qu’il y a un an, aux premiers jours de l’invasion russe de l’Ukraine.

La hausse reflète pour l’essentiel des tarifs plus élevés pour les hydrocarbures et l’électricité, précise mardi l’Office fédéral de la statistique (OFS).

«Nous ne vendrons pas de pétrole à ceux qui adhèrent directement ou indirectement aux principes du ‘prix plafond’», indique le vice-premier ministre russe chargé de l’Energie Alexandre Novak.