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Les treize membres et leurs dix alliés ont convenu d’ajuster leur niveau total de production de 400’000 barils par jour pour le mois de février.

Fort d’une expérience de plusieurs décennies dans le pétrole, le successeur du Nigérian Mohammed Barkindo prendra ses fonctions en août pour une durée de trois ans.

Les prévisions annuelles pour la demande mondiale ont toutefois été confirmées, mais les chiffres ont été revus en hausse pour le premier semestre et en baisse pour les deux derniers trimestres.

Le groupe va «ajuster à la hausse la production globale mensuelle de 400’000 barils par jour en janvier», comme c’est le cas chaque mois depuis mai 2021.

Les 23 pays ont deux options sur la table: augmenter en janvier leur cible d’offre conjointe de 400’000 barils par jour, ou la maintenir inchangée par rapport à décembre, à 40 millions de barils quotidiens.

Le cartel estime que la demande mondiale aura bondi de 5,7 millions de barils par jour (mb/j), alors qu’il tablait sur une croissance annuelle de 5,82 mb/j en octobre, et de 5,96 mb/j en septembre.

Malgré l’insistance des pays consommateurs, l'augmentation de la production restera à 400’000 barils par jour pour le mois de décembre.

Dans son rapport mensuel, le cartel estime que la demande pétrolière rebondira de 5,82 millions de barils par jour (mb/j) cette année, alors qu’il prévoyait 5,96 mb/j le mois dernier.

L’Organisation des pays exportateurs de pétrole et ses alliés ignorent les appels à ouvrir davantage les vannes.

Les pays exportateurs de pétrole estiment toutefois que la majorité de la progression sera concentrée sur la décennie actuelle.