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La diplomate a rencontré jeudi le Slovaque Juraj Nociar, chef de cabinet du commissaire européen Maros Sefcovic, ainsi que le secrétaire général du Service européen pour l’action extérieure, Stefano Sannino.

La dynamique actuelle entre la Suisse et l’Union européenne est positive, constate le gouvernement.

Sont notamment concernés les domaines de la santé publique, de la sécurité alimentaire ainsi que de l’électricité.

La commission des affaires extérieures du Conseil national demande au gouvernement de mettre un terme aux discussions exploratoires avec Bruxelles.

Des progrès ont été réalisés concernant la libre circulation des personnes et les aides d’Etat, même si, sur ces points et dans d’autres domaines, des questions restent ouvertes, indique le Conseil fédéral.

Les montants demeurent inchangés, valorisant ainsi toujours les infrastructures à 1,1 milliard de dollars (un peu moins en francs), à l’inverse de la composition et de l’échelonnement de la facture.

«Nous sommes dans les temps», a indiqué vendredi le député européen autrichien Lukas Mandl, qui en a la responsabilité.

La libre circulation des personnes est l’un des points d’achoppement dans les relations actuellement tendues entre Berne et Bruxelles.

«Il est essentiel de maintenir le pouvoir d’achat, surtout pour les revenus les plus faibles», a déclaré Gabriel Fischer, responsable de la politique économique à Travail.Suisse.

«Le principe d’un rapprochement fait sens entre deux maisons familiales, centenaires, proches par leurs valeurs et leurs convictions», a commenté Philippe Oddo.