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La politique budgétaire accommodante, la solidité de l’emploi et les enjeux géopolitiques restent les principales menaces pour une trajectoire de désinflation par ailleurs intacte.

Dans un contexte de recul de l’inflation, la croissance économique mondiale se stabilisera en 2024, plus ou moins au même niveau que l’année dernière.

Les banques centrales occidentales commencent à abaisser les taux d’intérêt, mais dans une moindre mesure que prévu.

L’inflation américaine résiste bien, tandis que la zone euro affiche des statistiques conjoncturelles décevantes.

La croissance chinoise continue de souffrir de la crise immobilière, mais les incitations monétaires et budgétaires commencent à porter leurs fruits.

La hausse des salaires réels et des prix de l’énergie continue d’alimenter une inflation élevée, mais les banques centrales en ont terminé avec le cycle de resserrement monétaire ou s’en approchent.

Les banques centrales évoquent la fin du cycle de resserrement monétaire – mais pas d’assouplissement en vue pour le moment.

La fin du cycle de resserrement monétaire approche – mais pas d’assouplissement en vue pour le moment.

L’effondrement de Silicon Valley Bank et de Signature Bank, puis le rachat forcé de Credit Suisse par sa rivale UBS ont fait craindre une répétition de la crise bancaire de 2008.

Notre exigence de limitation des pertes en période de difficultés répond à une double motivation.