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L’extension de l’accord de coopération entre les deux parties de 2026 à 2030 est soumise à l’achèvement réussi de la connexion technologique entre les plateformes.

La réalisation de cette connexion constitue une condition à l’extension convenue du partenariat entre les deux sociétés jusqu’en 2030, contre 2026 actuellement, rappelle la firme zurichoise.

Il y a une semaine, le principal actionnaire, Raiffeisen Suisse, avait annoncé qu’il se prononcerait contre cette introduction dans les statuts.

Le principal actionnaire émet des réserves quant à la proposition du spécialiste des produits structurés d’introduire une marge de fluctuation du capital lors de l’assemblée.

Le produit d’exploitation a progressé de 9,1% pour s’inscrire à 456,4 millions de francs. Les charges n’ont quant à elles enflé que de 2,9% à 263,1 millions.

Le spécialiste des produits structurés dispose d’une base de capital croissante et présente une gestion du risque et des liquidités rigoureuse, estime l’agence de notation.

Le spécialiste des produits dérivés anticipe pour 2022 un bénéfice net supérieur à 155,7 millions de francs, le profit engrangé au cours de l’exercice précédent. L'action termine en hausse.

Le titre chute de près de 20% à 38,95 francs, suite à une publication du Financial Times, citant des lanceurs d’alerte.

L’entreprise parle d’une étape importante dans la volonté de se diversifier.

Le revenu d’exploitation a grimpé de 41% à 289,2 millions de francs quand le bénéfice net s’est inscrit à 118 millions, en hausse de 59%.