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La banque centrale britannique a aussi revu fortement à la baisse ses prévisions de croissance, face à une économie déjà à la peine et menacée par les droits de douane américains.

Le renchérissement de l’énergie a fortement augmenté. Une hausse quelque peu compensée par une légère baisse de l’inflation sous-jacente (inflation hors alimentation et énergie).

Les tarifs réglementés du secteur de l’énergie ont accéléré, augmentant de 27,8% contre 12,7% en décembre.

L’inflation était tombée en septembre à son niveau le plus bas en trois ans et demi, à 1,7% en glissement annuel, mais est repassée depuis octobre au-dessus de la cible de 2% visée par la Banque centrale européenne (BCE).

L’indice PCE est monté à 2,6% sur un an contre 2,4% un mois plus tôt. Sur un mois, le renchérissement a aussi accéléré, à +0,3%, contre 0,1% en novembre, une hausse conforme au consensus des analystes.

La hausse des prix à la consommation recule en janvier à 2,3% sur un an, contre 2,6% en décembre, selon une première estimation de l’institut Destatis.

Le président de la Banque nationale suisse juge que les conditions de politique monétaire sont actuellement adaptées et cela signifie que l’inflation et les prévisions d’inflation sont dans la fourchette visée par la BNS.

Les prix de l’électricité ont bondi de 18,7% sur un an en décembre (après une envolée de 9,9% le mois précédent) et ceux du gaz de 11,1%.

Les aides fiscales accordées récemment aux particuliers par le gouvernement de Justin Trudeau sur certains produits de consommation ont eu un impact sur le ralentissement de la hausse des prix le mois dernier.

Le FTSE 100 semble avoir amorcé un nouveau rallye haussier qui pourrait s’étendre jusqu’à 9000 points au cours des prochains mois.