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Délivré par l’Université d’Hambourg, ce label distingue les fonds de placement qui poursuivent une approche de durabilité rigoureuse et transparente.

«Les crises successives, les technologies disruptives, les enjeux de durabilité ou de responsabilité numérique nécessitent une disponibilité accrue et une meilleure réactivité des membres des conseils d’administration», explique Vincent Kaufmann, directeur d’Ethos.

«L’objectif est de se focaliser sur un nombre restreint d’entreprise, sur une période de trois ou quatre ans, afin de pouvoir mieux évaluer leurs progrès», a expliqué Vincent Kaufmann, directeur d’Ethos.

Avec les BC d’Argovie, de Berne, des Grisons et, tout dernièrement, de Vaud, il y a désormais huit banques et gérants d’actifs qui collaborent dans le cadre du dialogue actionnarial.

Ethos soutient ainsi le projet du Conseil fédéral de renforcer les exigences législatives dans le cadre de la préparation de ces rapports.

Ces formations s’adressent en premier lieu aux membres des conseils de fondation des caisses de pension, qu’ils soient membres ou non de la Fondation Ethos.

«Ce fonds concrétise notre méthodologie d’impact positif. Une fois passé ce filtre d’analyse, seule une centaine d’entreprises peuvent être sélectionnées», explique Vincent Kaufmann, directeur d’Ethos.

Les assemblées générales 2024 de la Fondation Ethos et d’Ethos Services se sont tenues ce jeudi 13 juin à Berne. Les membres actuels des conseils ont toutes et tous été réélus.

Remise par l’Université de Neuchâtel, cette récompense couronne une méthodologie innovante qui permet aux investisseurs institutionnels d’évaluer l’impact climatique des entreprises dans lesquelles ils investissent.

Ethos intervient à l’assemblée générale d’UBS aujourd’hui pour demander à la plus grande banque suisse davantage de retenue sur les salaires de ses dirigeants et éviter ainsi des prises de risques excessifs et dommageables pour la place financière suisse.