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Le président américain assure que les négociations commerciales avec la Chine «se passent bien».

Lors de la semaine achevée le 25 janvier, les réserves commerciales de brut ont augmenté de 900’000 barils, alors que les analystes anticipaient une hausse de 3,15 millions de barils.

L’indicateur de l’Association nationale des agents immobiliers (NAR) s’est replié de 2,2% à 99 points contre 101,2 en novembre. Les analystes espéraient un rebond de 0,7%.

L’indice du Conference Board s’est établi à 120,2 points en janvier, contre 126,1 attendus par les analystes, selon une enquête réalisée en plein shutdown.

S’assurer qu’il n’y a pas de coentreprises forcées fait notamment partie des problème importants à régler dans le cadre des négociations commerciales.

Les raffineries américaines du golfe du Mexique ont le plus à perdre. Il va être difficile de trouver ce type de pétrole ailleurs et les prix risquent de bondir.

Environ 3 milliards de dollars ne pourront pas être récupérés, selon les services du budget du Congrès américains.

Le Sénat a approuvé un accord prévoyant un financement des services fédéraux jusqu’au 15 février. Mais le président n’entend pas en rester là et dispose encore de quelques atouts dans sa serviette.

Issue encore incertaine. Le même obstacle sépare toujours républicains et démocrates: le mur que veut construire Donald Trump à la frontière mexicaine.

La Maison Blanche soutient désormais une loi de financement temporaire à condition qu’elle inclue une enveloppe pour un mur à la frontière avec le Mexique.