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Après Roche et son Actemra, c’est au tour de Novartis de tenter de réorienter un traitement existant pour atténuer les complications potentielles du COVID-19.

Ce paquet de mesures concerne quelque 3000 collaborateurs du groupe et vient compléter l’élargissement des dispositions en matière de congé maladie.

Selon 28% des personnes sondées, la situation financière d’avril sera moins bonne qu’en mars, contre seulement 13% lors du précédent pointage en décembre dernier.

L’Etat a débloqué 100’000 francs pour accompagner dans l’urgence les restaurateurs souhaitant intégrer leur offre à des sites genevois de livraison à domicile.

Le personnel contraint au chômage technique se verra ainsi offrir un minimum de douze semaines de salaire. La mesure demeure conditionnée au droit du travail local.

Le don de 5 millions de francs sera remis à deux organisations caritatives suisses renommées - la Croix-Rouge suisse et Pro Senectute.

Les laboratoires vont mettre en commun leurs librairies de molécules pour les passer en revue afin de trouver éventuellement un traitement contre le Covid-19.

Parallèlement, les évacuations forcées de locataires et de sous-locataires sont suspendues, à la demande de l’ASLOCA Genève.

La propagation du Coronavirus est une crise liée à un évènement et ne peut pas être comparée à la crise financière de 2008.

Cette initiative vient compléter celle déjà annoncée par le Conseil fédéral et réalisée par les coopératives de cautionnement.