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Le réchauffement (relatif) du discours commercial et le report de certains des droits de douane ont favorisé la dissipation des craintes de récession et un relèvement des perspectives de croissance.

Depuis l'été dernier, la demande et le climat économique en Europe se sont légèrement améliorés. Cependant, la zone euro pourrait être encore plus fragilisée si la Chine tente d'accroître sa pénétration dans les marchés de la région.

La croissance de la demande intérieure a conduit les Etats-Unis à augmenter leurs importations, en particulier dans des catégories de produits telles que les hautes technologies.

Les avancées médicales ont confirmé tout le potentiel de ce domaine, devenu un pilier central de la santé mondiale.

«Nous pensons qu'en élargissant notre univers d'investissement à l'ensemble de l’écosystème de l'IA, nous permettra de saisir des opportunités encore plus intéressantes», explique Johan Van der Biest.

La croissance mondiale s'essouffle, mais l’«atterrissage brutal» tant redouté a été différé, il ne s’est pas concrétisé.

Alors que l’envolée des droits de douane annoncée le «Jour de la libération» avait entraîné les actifs risqués – et les bons du Trésor américain – dans une zone de turbulences, un semblant de calme est revenu sur les marchés.

Un printemps instable: droits de douane, menaces et revirements.