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La BCE a décidé de réduire le rythme des achats d'actifs dans le cadre de son programme d'achat d'urgence pandémique pour le quatrième trimestre.

La croissance de l'emploi aux États-Unis en août a été bien inférieure aux attentes.

Les inquiétudes sur l'inflation, le développement durable et la recherche de sources alternatives de rendements sont les trois réels moteurs des flux.

Les opportunités permettant aux investisseurs de positionner des portefeuilles sur la thématique du climat vont probablement se réduire.

La Banque Centrale Européenne a donné une orientation dovish à sa politique de taux d'intérêt, qui sera probablement suivie d'une augmentation de ses achats d'actifs.

La grande banque américaine gère dorénavant un total de 9’496 milliards de dollars, en hausse de 30%.

Les investisseurs envisagent des résultats potentiels très variés au-delà du redémarrage de l'économie – laissant les marchés enclins à réagir de manière excessive au flux de nouvelles.

La Chine devrait détrôner les Etats-Unis en tant que première puissance économique mondiale d'ici la fin de la décennie.

Les actions des marchés développés hors États-Unis sont mieux placées pour profiter du redémarrage économique à horizon tactique, à mesure que le vigoureux redémarrage s'étend.

L'indice mondial des directeurs d'achat (PMI) et d'autres données sur le sentiment cette semaine aideront les investisseurs à évaluer l'état du redémarrage économique.