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Au quatrième trimestre, le gestionnaire d’actifs a pu profiter de la bonne santé des bourses mondiales ainsi que de sa présence dans de nombreux secteurs des marchés financiers.

Nous voyons Omicron retarder – mais pas faire dérailler – le fort redémarrage de l'activité même si son impact différera d'un pays à l'autre. Nous continuons donc de privilégier les actions.

Les données sur l'emploi aux USA sont au centre de l'attention cette semaine, en interférant avec le rythme et l’ampleur des hausses de taux. Les données PMI fourniront une indication sur l’importance du redémarrage.

Comment expliquer que l’actuelle pénurie de puces devienne une épineuse affaire aux retentissements internationaux?

Une réunion entre les Etats-Unis et la Chine ayant pour objectif d’empêcher leur concurrence de se transformer en conflit pur et simple n'a produit que peu de résultats tangibles.

L'inflation est tirée par les chocs d'offre inhabituels liés au redémarrage. Nous nous attendons à ce que ces déséquilibres se résolvent au cours de l’année prochaine.

Au niveau mondial, 95% des assureurs pensent que le risque climatique est un risque d’investissement, selon le 10^e Global Insurance Report annuel de BlackRock.

Le changement climatique et la transition vers un avenir faible en carbone seront un facteur clé des rendements des actifs à long terme.

Les records de bénéfices historiques sont dus en partie à une orientation conservatrice.

«Réaliser une transition juste vers une économie «zéro émission nette» d'ici 2050 nécessite une planification à long terme et une coordination étroite entre les secteurs public et privé», explique Larry Fink, président Directeur Général de BlackRock.