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Eric Dor de l’IESEG School of Management évoque un risque pour les Européens de voir la Chine tenter d’inonder leur marché pour compenser sa baisse des exportations vers les USA. Benito Berber de Natixis craint un impact négatif pour les pays émergents.

A la clôture, le groupe américain est le constructeur le plus touché, affichant une chute de 7,36%. Ford lâche de son côté 3,88%, tandis que Stellantis recule de 1,25%.

Les «parties cruciales» - moteur, transmission, groupe motopropulseur et composants électriques - non fabriquées aux USA subiront les 25% de taxes au même titre que les véhicules finis étrangers.

«Les nouvelles conditions d’importation se reflèteront partiellement dans le niveau de prix, avec une hausse de maximum 10%», indique le fabricant italien de bolides. Les séries 296, SF90 et Roma épargnées.

«Le président va organiser une conférence de presse aujourd’hui afin d’annoncer des droits de douane sur l’industrie automobile, je lui laisse la primeur», déclare la porte-parole de la Maison Blanche Karoline Leavitt.

Vers 18h50, Ford lâche 1,51%, General Motors rétrograde de 1,71%, Tesla chute de 5,71% et Stellantis de 2,14%.

Plusieurs constructeurs automobiles internationaux ont l’intention de modifier leur modèle de distribution de telle sorte qu’ils puissent mettre un terme à la concurrence intramarques entre les différents vendeurs à l’intérieur d’un pays et à l’échelle internationale.

Au total, 297'329 voitures ont été immatriculées en Allemagne, soit 6,1% de plus qu’en juin 2023, selon l’Agence fédérale pour l’automobile.

L'introduction de nouveaux modèles de véhicules électriques pourrait ne pas suffire à assurer la conformité, car leur acceptation sur le marché est incertaine.

Vu le parcours trimestriel de la Chine, les ventes mondiales d'automobiles chuteront plus que prévu en 2019.