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La Fed se concentre désormais sur le marché de l'emploi, qui montre des signes de détérioration.

Une combinaison de facteurs a déclenché la tempête estivale de ce début de semaine, ne cédons pas aux mouvements de panique.

Comme pour toute situation de tension, des opportunités devraient se présenter pour les investisseurs de moyen/long terme.

La BCE devrait réduire ses taux directeurs quatre fois cette année à partir de juin. Une nouvelle rotation commence à émerger avec l’amélioration de la situation macroéconomique en Europe.

Le contexte monétaire nous amène désormais à adopter une vue tactiquement neutre sur les actions dans un marché qui devrait offrir des points d’entrée attractifs à terme.

Tout comme le pic de la floraison des cerisiers, la principale question que se posent les clients et investisseurs est de savoir si nous avons atteint le pic des marchés actions.

L’économie américaine continue de surprendre les attentes à la hausse portée par un consommateur à toute épreuve.

Actions - principalement américaines - et pas de risque de duration sur l’obligataire: la stratégie d’Alexandre Drabowicz, d’Indosuez Wealth Management.

L’été a finalement été (trop) chaud sur les taux longs américains. Le taux des obligations 10 ans est passé de 3,7% à 4,3%. Mais c’est bien le taux réel qui a été le principal facteur explicatif.