Edmond de Rothschild Asset Management, annonce l'arrivée de Vianney Hocquet comme gérant dette corporate hybride. Il a pris ses fonctions le 11 décembre 2024.
Vianney Hocquet rejoint l’équipe de gestion obligataire d'Edmond de Rothschild AM qui gère 8,6 milliards d'euros (à fin septembre 2024), dirigée par Alain Krief, depuis le bureau de Paris. Vianney sera co-lead sur la stratégie de dette corporate hybride avec Marc Lacraz également gérant obligataire.
Figurant parmi les pionniers sur cette classe d'actifs, Edmond de Rothschild AM est devenu, en seulement trois ans après le lancement de l’expertise, l’un des acteurs majeurs en Europe sur la dette subordonnée non-financière dite «corporate hybride». Avec plus de 700 millions d’euros d’encours clients, les actifs sous gestion sont répartis entre un fonds ouvert et des mandats dédiés.
Vianney Hocquet rejoint Edmond de Rothschild AM fort de près de 15 ans d'expérience sur les marchés obligataires européens. Il était auparavant gérant crédit senior chez Amundi d’abord à Londres puis à Paris où il gérait des portefeuilles obligataires monde benchmarkés, total return et datés ainsi que des stratégies crédit euro. Il était notamment le gérant lead sur la stratégie de dette subordonnée. Précédemment, il a occupé le même poste chez Pioneer Investments à Dublin (racheté par Amundi en 2017), où il a contribué à lancer et gérer un fonds d’obligations subordonnées monde. Il a commencé sa carrière chez BNP Paribas à Paris comme trader obligataire pour compte propre en 2010. Vianney possède un diplôme d’ingénieur de l'Ecole Polytechnique, ainsi que d'un MSc en mathématiques financières de l'Université Stanford en Californie.
Alain Krief, responsable de la gestion obligataire d’Edmond de Rothschild AM, a commenté: «Nous sommes très heureux d'accueillir Vianney au sein de notre équipe composée de 13 professionnels des marchés obligataires. Son expertise et sa connaissance approfondie de la dette corporate hybride, cette nouvelle classe d’actifs en plein essor vont nous permettre de continuer à nous développer sur cette stratégie dont les encours ont aussi été multipliés par deux, en un an.»