Les pays les plus pauvres peuvent aider à orienter l’aide extérieure

Communiqué, Cnuced

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Un rapport de la Cnuced met en lumière l’importance d’axer les financements extérieurs vers les priorités nationales de développement.

Les pays les moins avancés (PMA), nations les plus pauvres du monde, doivent veiller à ce que les financements extérieurs de toutes origines soient orientés vers les priorités nationales de développement. Cette approche est le meilleur moyen de gérer leur dépendance à l'égard de l'aide et de s’y soustraire, selon le Rapport 2019 de la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (Cnuced) sur les pays les moins avancés.

Déficits persistants de l’épargne intérieure

Pour atteindre les objectifs de développement durable, les PMA doivent s'approprier leur programme de développement et gérer l'affectation des fonds extérieurs pour le développement conformément à leurs priorités nationales de développement. La communauté internationale doit également renforcer son soutien à la réalisation de cet objectif commun, affirme le rapport.

Selon le rapport, les PMA comptent 15 des 20 pays les plus dépendants de l'aide dans le monde en raison, entre autres, des déficits persistants de leur épargne intérieure. 

Pour accéder au rapport complet, en anglais, cliquez ici

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