Visa: cliquer c’est payé est arrivé en Suisse

Communiqué, Visa

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Le nouveau standard de l’industrie fonctionne désormais avec les cartes de crédit, de débit et les cartes prépayées suisses. Mais qu’y a-t-il précisément derrière et quels sont les avantages? L’explication en bref.

Cliquer c’est payé est arrivé en Suisse et rend le paiement par carte sur Internet aussi simple que le paiement sans contact en magasin. Le nouveau standard de l’industrie fonctionne désormais avec les cartes de crédit, de débit et les cartes prépayées suisses, que les consommateurs peuvent activer auprès de leur institut financier émetteur de carte. Mais qu’y a-t-il précisément derrière et quels sont les avantages? L’explication en bref.

Qui ne connaît pas ça? Après la sélection soigneuse des articles mis dans la corbeille, c’est le moment de passer au processus de paiement. Nous entrons presque automatiquement l’adresse de livraison, mais n’avons pas la carte à portée de main. Se lever pour aller chercher son portefeuille? Interrompre l’achat et reporter la commande? 

Le nouveau standard de l’industrie Cliquer c’est payé, désormais aussi disponible en Suisse, met fin à ce dilemme: comme dans les boutiques en ligne où l’on a déjà enregistré son profil, on peut maintenant, lors du passage en caisse, payer aussi en quelques clics en tant qu’invité, grâce à Cliquer c’est payer. Et ce, quel que soit l’appareil – Smartphone, tablette ou ordinateur.

Comment fonctionne Cliquer c’est payé?

Une activation unique de la carte pour Cliquer c’est payé suffit à rendre ensuite totalement superflue la longue et fastidieuse saisie des données de carte dans les commerces en ligne. Plus besoin d’avoir sa carte avec soi ou d’aller la chercher, les données de cartes cryptées sont appelées en arrière-plan à chaque opération de paiement, et bénéficient d’une protection totale grâce à des technologies de sécurisation modernes, à l’efficacité avérée.

Activer une carte? C’est tout simple!

Activer Cliquer c’est payé sur sa propre carte de crédit, de débit ou prépayée ou ajouter des cartes supplémentaires peut se faire de deux façons: soit directement auprès d’un nombre croissant d’instituts financiers émetteurs de cartes, soit sur les sites Internet de Visa et Mastercard. Les informations de paiement sont stockées dans le profil personnel et restent disponibles en tout temps. 

Lors du paiement dans une boutique en ligne, les titulaires de carte choisissent, comme à leur habitude, le paiement par carte. Leur adresse e-mail permet aux boutiques participantes de détecter si leur carte est enregistrée pour la fonction Cliquer c’est payé. Ce processus s’enclenche de manière totalement automatique. Il peut, dans certains cas, être demandé une confirmation via la saisie d’un code de sécurité unique. Les acheteurs voient le symbole Cliquer c’est payé, la carte adossée, et peuvent finaliser leur achat de façon sûre, rapide et simple. Dans les boutiques en ligne n’acceptant pas Cliquer c’est payé, le paiement par carte traditionnel reste bien sûr possible. 

«Cliquer c’est payé est la dernière mise à jour du paiement par carte sur Internet, qui permet aux Suissesses et aux Suisses un paiement en ligne encore plus simple, rapide et sûr», dit Santosh Ritter, Country Manager Suisse et Liechtenstein chez Visa. «Cliquer c’est payé n’est pas une solution isolée, mais un standard de l’industrie, soutenu par les instituts financiers émetteurs de cartes en Suisse et déjà plusieurs milliers de boutiques en ligne».

Cliquer c’est payé est-il un nouveau mode de paiement?

Les paiements avec Cliquer c’est payé restent des paiements par carte, effectués dans les systèmes éprouvés des réseaux de cartes. Les titulaires de carte continuent ainsi à bénéficier des avantages des techniques de sécurisation les plus modernes qu’offrent les paiements par carte. Le taux de fraude des paiements Visa est inférieur à 0,1 pour cent et compte donc parmi les taux les plus bas de toutes les formes de paiements. En outre, avec Cliquer c’est payé, les commerçants ne stockent et ne traitent aucun numéro de carte, mais uniquement un jeton numérique. Appelé token, ce jeton est sans valeur s’il atterrit dans les mauvaises mains. Et s’il devait malgré tout y avoir fraude, les consommateurs sont bien protégés. Car les titulaires de carte ne sont pas responsables des paiements qu'ils n’ont pas autorisés – conformément aux CGU de leur banque émettrice.  

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