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Le chimiste de spécialités avait recensé dans son rapport annuel 2020 des provisions qui n’auraient pas dû l’être. La décision remonte au 13 juin et le délai de recours étant désormais échu, la sanction entre en vigueur.

Le Dow Jones repasse la barre des 35'000 points à la clôture, grâce à une hausse de 0,31%. Le Nasdaq grappille 0,03% à 14’358,02 points et le S&P 500 avance de 0,24% à 4’565,72 points.

Le Brent termine sur une perte de 0,21% à 79,46 dollars et le WTI finit sur une dépréciation de 0,52% à 75,35 dollars.

La bourse britannique grimpe de 1,80% à son plus haut niveau depuis un mois. Paris progresse de 0,11% et  Milan de 0,02%, après avoir atteint un plus haut depuis 2008 en séance dans la matinée.

Durant la semaine achevée le 14 juillet, les réserves commerciales se sont contractées de 700’000 barils, soit moins d’un tiers du chiffre projeté par les analystes (2,5 millions de barils).

Dow +1,06%, S&P 500 +0,71%, Nasdaq +0,76%, Russell 2000 +1,27%, SOX 0,13%, Eurostoxx +0,30%, SMI +1,16%.

L’indice vedette Nikkei a pris 1,24% à 32.896,03 points et l’indice élargi Topix a gagné 1,19% à 2.278,97 points.

Le Dow Jones a profité des résultats des banques et d’un bond de Microsoft pour dépasser une résistance clé à 34'500 points.

Le Dow Jones monte de 1,06% à 34’951,93 points. Le Nasdaq et le S&P 500 ont atteint leur plus haut niveau depuis avril 2022, progressant respectivement de 0,76% à 14’353,64 points et de 0,71% à 4554,98 points.

Paris prend 0,38%, Londres 0,64%, Francfort 0,35% et Milan 0,34%. A Zurich, le SMI monte de 1,16%.