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Si une forme d’exubérance règne aux Etats-Unis, un sursaut est possible tant dans les actions européennes que les chinoises, selon Michel Saugné, nouveau CIO de LFDE.

Beaucoup de sociétés européennes se traitent avec une importante décote par rapport à des entreprises américaines qui ont un profil largement similaire, observe Kevin Thozet de Carmignac.

Si les actions sont à privilégier à moyen terme, il serait avisé d’augmenter la part du cash et des obligations à court terme, selon Beat Wittmann, de Porta Advisors.

Pour Jan Eckert de JLL, la hausse des loyers pour les bureaux a été rendue possible grâce à une offre qui répond désormais mieux aux attentes des entreprises.

Pour Aron Veress, CEO de Liechtenstein Life, le fait de pouvoir procéder à des rachats ultérieurs dans le 3ème pilier créée de nouvelles possibilités en termes de planification.

Après une année difficile, Marc Possa, du fonds Saraselect, explique comment sélectionner les valeurs suisses et quels sont leurs atouts dans un contexte protectionniste.

A l’orée de 2025, l’investisseur a besoin d’une allocation substantielle en actions, selon Thomas Stucki, CIO de la Banque cantonale de Saint-Gall.

Selon Yvan Cognasse, expert chez Oracle, l’intelligence artificielle modifiera en profondeur la manière de travailler dans toutes sortes de tâches, y compris la sélection de titres financiers.

Pour Patrick Schwaller d’EY, la baisse des taux d’intérêt survenue plus rapidement qu’attendu incite les banques à être plus prudentes dans leurs prévisions pour 2025.

Après une performance de près de 8,7% en 2024, les rémunérations des assurés devraient atteindre 2,5 à 3% pour les assurés actifs, voire davantage, selon Quentin Costa, de PPCmetrics.