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Les perspectives de l’économie britannique semblent prometteuses: la croissance du PIB réel devrait s’établir à plus de 5% l’an prochain.

Les pénuries de main-d’œuvre resteront problématiques. Elles exerceront des pressions à la hausse sur les salaires, l’inflation et, à terme, les taux d’intérêt.

Les rendements des obligations d’Etat continueront à augmenter d’ici à la fin de l’an prochain.

La Fed devrait annoncer la réduction des achats d’actifs en novembre et la fin à mi-2022.

Les petites entreprises aux États-Unis projettent d’augmenter les prix dans le contexte du dynamisme de la demande et des contraintes affectant l’offre.

Alors que les hospitalisations continuent à augmenter aux USA, les créations d’emplois pourraient rester faibles dans les secteurs sensibles au COVID-19 ces prochains mois.

D’après les derniers chiffres, l’indice de confiance des consommateurs du Conference Board s’est inscrit en net repli en août, faisant ainsi écho aux autres enquêtes récentes auprès des consommateurs.

Il est clé de monitorer l’évolution des sources durables d’inflation: prix immobiliers et salaires.

Une semaine après la levée des restrictions au Royaume-Uni, il est encore trop tôt pour évaluer avec précision l'impact sur la confiance des consommateurs.

Si cette ambition est tout à fait louable, sa mise en œuvre nécessitera des changements majeurs dans notre mix énergétique.