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«Ce n’est pas ce que ce pays veut», a dit le dirigeant britannique à propos d’un «no deal» potentiellement dévastateur pour l’économie.

«Il est impossible de modifier unilatéralement l’accord, de l’ignorer ou de cesser d’en appliquer les dispositions», affirme la présidente de la Commission européenne.

«Incroyable de voir où va l’une des plus anciennes démocraties du monde. Le Parti conservateur est devenu un parti populiste», s’étonne l’eurodéputé allemand Bernd Lange.

Le projet de loi, aux dispositions controversées concernant l’Irlande du Nord, a été approuvé par 340 votes pour (263 contre).

Le projet de loi britannique «violerait le droit international et saperait la confiance» entre les deux partenaires, a affirmé la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen.

Les Européens rappellent à Londres ses obligations et mettent en garde sur un coup porté à la «confiance», qui affecterait les négociations en cours.

A la veille de la reprise de négociations sur la relation post-Brexit, l’UE met en garde le Royaume-Uni après que Boris Johnson ait menacé de claquer la porte mi-octobre.

Approbation de la capacité d’emprunt, Chine, Turquie et Brexit devraient être au menu.

Les 27 se sont enfin accordés sur une aide incluant un endettement commun. Les experts sont toutefois divisés, notamment sur le montant des subventions.

La Commission européenne se concentre sur la création de nouveaux outils pour mieux répondre aux appétits étrangers sur son marché.