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Bloomberg indique que le groupe bancaire agit suite aux sanctions décrétées par l’administration Trump contre le Venezuela.

Les plans de relance s’étoffent partout. Ces efforts colossaux ne devraient pas manquer d’avoir des répercussions sensibles sur les marchés. Analyse.

Le secteur financier devrait permettre à Zurich de limiter les dégâts économiques. A l’inverse, le Jura risque de subir sa forte représentation horlogère, selon UBS.

Le monde de l'après Covid-19 sera plus endetté, moins mondialisé, et plus digitalisé. Il est conseillé de «réinitialiser» les portefeuilles pour la reprise.

Le bénéfice net trimestriel atteint 1,23 milliard de dollars alors que le consensus tablait sur moins d'un milliard. L'action grimpe.

Un optimisme toutefois teinté de défiances grandissantes à l'encontre des politiques nationales et des élections américaines, selon l’enquête d’UBS sur la confiance des investisseurs.

La SEC avait reproché à UBS d'avoir pendant quatre ans privilégié certains acheteurs de titres de dette, permettant à ces derniers de revendre les obligations avec un bénéfice.

A quatre mois du scrutin présidentiel, de nombreux investisseurs préfèrent éviter d'exposer leur portefeuille à l'actualité politique.

Aucune mention n’est faite des contours financiers de la collaboration.

Validation du retrait par l’Administration fédérale des contributions de la qualité de partie à UBS dans les procédures encore pendantes en lien avec une demande d’assistance administrative de la France.