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Analogie de l’exposé de Richard Branson pour devenir millionnaire: pour devenir la deuxième puissance mondiale, il suffit d’être la première puissance mondiale et de faire n’importe quoi.

Il faudra surveiller l’écart entre les annonces et les actions, mais en tout état de cause la croissance économique devrait être au rendez-vous outre Atlantique.

Le président de la Fed n’est sûrement pas là pour récompenser ou punir, mais on ne peut que constater la réaction négative des marchés aux annonces du 18 décembre.

On peut de nouveau tabler sur des taux directeurs autour de 2%, aux Etats-Unis comme en Europe.

Le marché est amoral, voire apolitique, et sait compter vite et bien comme le montre le passage éclair de Liz Truss à la tête du gouvernement britannique en 2022.

Force est de constater que les places financières ont bien décollé depuis 12 mois, voire sont sur orbite. Se pose désormais la question de la suite.

Récemment la tendance est plutôt aux actions malgré l’approche inéluctable des fêtes de fin d’année et la nervosité des marchés.

Pour les marchés la question est de savoir si les performances positives enregistrées depuis le début de l’année peuvent être maintenues. Naturellement le contexte invite à la prudence.

Depuis le début de la saison, des records de chaleur ont été battus et des sommets historiques ont été atteints sur les marchés boursiers.

Contraint de se réinventer face à l’urgence climatique, le secteur de l’énergie fossile investit une partie de ses moyens colossaux dans des outils de productions électriques plus verts.