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Ajustée du renchérissement (réel), la contraction a atteint 0,5%, indique lundi l’Office fédéral de la statistique (OFS).

Le maintien de ce taux signifie que les locataires ne peuvent pas demander une baisse de loyer.

Avec une contraction annuelle de 2,9% en 2020, le choc pandémique s'est avéré moins grave que prévu et relativement modeste en comparaison internationale.

Les économistes d’UBS tablent sur une progression du PIB de 3,3% cette année, contre 3,6% précédemment.

Les dépenses de consommation privée ont fondu de 1,5%, plombées par la fermeture des restaurants et des lieux de loisirs.

Pour le nombre de postes occupés, il s’agit de la troisième baisse consécutive, fait remarquer l’office fédéral de la statistique (OFS).

Concernant les mois à venir, le baromètre indique donc une activité économique un peu plus soutenue.

Dans le détail, la construction de logements a subi une chute de 16,3% des recettes en 2020, alors que l’activité dans le secteur industriel et commercial a reculé de 4,8%.

Grâce aux taux d’intérêts bas persistants, la propriété du logement reste particulièrement attractive comparée à la location d’un logement.

L’indice afférent a bondi à 55,5 points, contre 43,2 points un mois plus tôt.