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L’opération, qui doit encore recevoir le blanc-seing de la Finma, devrait permettre à l’entreprise de proposer aux investisseurs un «véhicule d’investissement solide avec des rendements appropriés».

La nominative a fini jeudi en hausse de 3,1% à 25,10 francs, intégrant ainsi de justesse la fourchette de 25 à 30 francs articulées par la plupart des observateurs au préalable à l’introduction sur SIX.

Après un premier cours à 24 francs, la nominative de la spin-off bâloise a grimpé jusqu’à 25,20 francs avant de chuter brutalement - glissant même sous les 23 francs - pour se reprendre et clôturer à 24,35 francs.

L’ancienne division de Novartis fera également son entrée au sein de l’indice SXI Life Sciences.

Actuellement vice-président et président des marchés européens chez Nasdaq, le citoyen danois possède plus de deux décennies d’expérience dans les marchés financiers.

L’établissement est soupçonné de violation des prescriptions concernant la publicité événementielle, des «faits susceptibles d’avoir une influence sur les cours».

La plateforme technologique zougoise avait annoncé le 8 août avoir conclu un accord avec des investisseurs lui assurant l’accès à des liquidités dans un court délai, mais sans en préciser le montant.

Si la faute est qualifiée de «grave», la commission des sanctions a tenu compte de l’impact de la sanction sur l’entreprise au moment d’en déterminer le montant.

Le dernier jour de négoce sur SIX Swiss Exchange sera le 3 novembre. Le régulateur a cependant précisé que cette décision pouvait être contestée.

«Avec la hausse de notre résultat d’exploitation semestriel, nous maintenons le cap de notre objectif de croissance de chiffre d’affaires annuel à moyen terme de 4%», a déclaré le directeur général, Jos Dijsselhof.