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Le solde négatif 2017-2018 s’est établi à 42,6 milliards de livres, à 2,1% du PIB.

«Nous travaillons à transposer avec le Royaume-Uni toutes les relations bilatérales que nous avons avec l’UE», a annoncé le secrétaire d’Etat Jörg Gasser.

L’Office des statistiques nationales relève de 0,1 point à 1,8% son estimation de la progression du PIB 2017.

David Davis et Michel Barnier annoncent s’être entendus sur les termes d’une période de transition après la sortie du Royaume-Uni.

La cheffe du gouvernement britannique a dit vouloir un accord le plus large possible, couvrant plus de secteurs et avec davantage de coopération que n’importe quel accord de libre-échange dans le monde.

Les nouveaux crédits enflent à un niveau sans précédent depuis bien avant la crise financière.

Le conseil d’administration de l’entreprise britannique recommanderait aux actionnaires d’accepter l’offre du développeur de logiciels bancaires genevois. Les investisseurs ne voient pas les choses du même œil.

L’entreprise anglaise est active dans le domaine des ressources humaines, indique le groupe genevois. Les détails financiers de la transaction ne sont pas précisés.

L’ONS explique cette quasi-stagnation de 0,1% par la hausse des prix toujours vive au Royaume-Uni, l’inflation ayant atteint 3% en janvier.

La solidité de l’inflation pourrait alimenter les spéculations autour d’une prochaine hausse des taux d’intérêt de la Banque d’Angleterre (BoE).