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La décision de la FDA illustre la nécessité urgente d’une option de traitement pour les patients atteint par la maladie Covid-19.

La biotech genevoise engagée dans la course pour un anti-COVID-19 repousse son AG d’un mois.

Le RLF-100 sera évalué à l’aune d’un placebo, en complément dans les deux cas des soins intensifs maximaux.

Ce volet de recherche prévoit l’enrôlement de 120 patients présentant une détresse respiratoire aigüe (SDRA) et nécessitant des soins intensifs, ainsi qu’une ventilation artificielle.

L’espoir est qu’Aviptadil puisse réduire la mortalité et améliorer la capacité des poumons à transmettre l’oxygène au reste du corps, a précisé Relief Therapeutics.

Ce désengagement permettra à l’entreprise genevoise de se concentrer sur le développement de son produit expérimental Aviptadil.

Des patients fortement infectés par le coronavirus et en détresse respiratoire seraient traités avec Aviptadil, le produit de la biotech genevoise.

La holding pharmaceutique genevoise compte lancer «en urgence» ces tests.

L'enquête de SIX Exchange Regulation porte sur de possibles violations des devoirs d'annonce réguliers.