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Les chiffres positifs présentés par les entreprises en Suisse sont trouvent éclipsés par les inquiétudes liées à l’augmentation du déficit public états-unien. Parallèlement, Google remet l’intelligence artificielle au centre des préoccupations des investisseurs.

En moyenne, un logement démoli fait place à quatre nouveaux logements.

Alors que 7,3 logements pour 1000 habitants étaient en moyenne planifiés entre 2004 et 2017, ils n’étaient plus que 5,5 entre 2020 et 2024.

Malgré les différends douaniers, l’inflation aux Etats-Unis est restée globalement stable (pour l’instant). Entretemps, le gouvernement de Washington veut s’attaquer aux prix élevés des médicaments.

La Fed a fait état de son indépendance en laissant ses taux inchangés. Toutefois, l’effet inflationniste de la politique douanière états-unienne donne du fil à retordre à la Fed. Pendant ce temps, la reprise des marchés des actions perd de son élan.

Pointant les tarifs douaniers annoncés par le gouvernement US et les conséquences du nouveau renforcement du franc, les experts tablent sur une croissance de 0,9%, contre 1,3% précédemment.

Le potentiel de la technologie d’IA est considérable. Elle pourrait durablement changer l’économie suisse.

«En tant que pays à hauts salaires, la Suisse se doit de miser sur l’automatisation. L’IA offre à cet effet des outils puissants et le potentiel d’économies est bien réel», explique Fredy Hasenmaile, chef économiste chez Raiffeisen Suisse.

La diversification transforme l’incertitude des marchés en un avantage stratégique durable.

Après 47,9 points en mars, l’indice Raiffeisen PMI PME atteint 50,9 points, dépassant ainsi légèrement le seuil d’expansion.