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L’apaisement dans les prix des automobiles joue un rôle substantiel dans l’effet de ralentissement des prix des marchandises, surtout aux Etats-Unis.

Même les chiffres d’affaires solides parviennent de plus en plus rarement à convaincre les investisseurs et à donner des impulsions positives. Parallèlement, les incertitudes monétaires et conjoncturelles font souffler un vent contraire sur les marchés des actions.

Cette chanson du groupe ABBA symbolisait l’état émotionnel de nombreux couples en cours de séparation. Aujourd’hui, le titre est davantage l’expression d’une économie qui couvre des pans de plus en plus larges de l’activité et qui engendre tout autant de maux de tête.

La saison des résultats est contrastée ce qui incite les investisseurs à prendre des bénéfices car leurs attentes sont trop élevées, comme on le constate de plus en plus. En revanche, un secteur qui se montre très solide est la pharmaceutique suisse.

A mi-parcours de l’année, les marchés financiers brillent avec des performances remarquables des actions et de l’or.

L’ambiance est bonne sur les marchés boursiers, les cours sont en hausse, mais les premiers résultats publiés et les ajustements des prévisions incitent à la prudence. Même le chef de la Fed peine à envisager une baisse des taux d’intérêt.

Pour Matthias Geissbühler, CIO de Raiffeisen, le marché des actions aux Etats-Unis n’offre, lui, désormais plus qu’un potentiel d’appréciation restreint.

Dans la zone euro, la BCE peut réduire quelque peu la forte dose de la politique monétaire, malgré la pression intérieure sur les prix qui a encore augmenté.

Alors qu’en Suisse, le Parlementaire le plus âgé a 74 ans, les politiciens de plus de 80 ans sont encore relativement nombreux à Washington.

Les obligations ont pris l’avantage sur les actions au second semestre.