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La société immobilière zougoise a vu son profit net fléchir sur un an de 44,5% à 329,96 millions de francs, plombé par les revalorisations. Un dividende en hausse de 1,2% à 3,80 francs est proposé aux actionnaires.

Le bénéfice net a progressé de 8,5% sur un an, hors effet des revalorisations, à la faveur de la hausse des revenus locatifs et de celle des ventes de projets de développement et de propriétés par étage (PPE).

La direction vise désormais un Ebitda ajusté du résultat des placements immobiliers de 290 millions, contre plus de 285 millions au dernier pointage.

Le produit des immeubles s’est inscrit à 79,1 millions de francs, en hausse de 2,2% par rapport aux trois premiers mois de 2021. L'action progresse.

L'entreprise zougoise a déboursé 64 millions de francs pour mettre la main sur les 2700 mètres carrés (m2), principalement dévolus à des bureaux.

Dopé par un effet de revalorisation de 464,9 millions de francs, contre 101,6 millions en 2020, le bénéfice net a plus que doublé (+103,7%) pour s’établir à 595,0 millions.

De janvier à septembre, le produit des loyers s’est étoffé de 4,7% sur un an à 231,5 millions de francs. Le taux de vacance était de 3,5% sur la période.

Le bénéfice net décolle de 204,9% à 371,4 millions, porté notamment par les revalorisations des biens immobiliers.

Le bénéfice hors revalorisations a bondi de 28,5% à 61,8 millions de francs.

Le groupe zougois assure n’avoir que marginalement ressenti les effets de la crise sanitaire, malgré une chute de 35,6% de son bénéfice net.