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L'essor des économies d'Asie, d'Europe centrale et d'Europe de l'Est, a entraîné une réduction des disparités entre les pays qui pourrait être la plus spectaculaire de l'histoire de l'humanité.

Les investissements du secteur privé dans la recherche et le développement en Europe ne représentent que la moitié de ceux des Etats-Unis.

Avec près de 400 millions de personnes vivant dans l'extrême pauvreté, le poids croissant du service de la dette africaine est devenu un obstacle majeur à la réduction de la pauvreté.

L’utilisation de fonds publics pour réduire les risques liés aux investissements privés est une solution éprouvée. Il nous faut déployer rapidement ces mécanismes à une échelle beaucoup plus étendue.

La dette américaine est sur une pente dangereuse, et le silence n'est pas une solution.

Non seulement l'Union européenne a raté la révolution numérique, mais elle est également sur le point de rater la révolution de l'intelligence artificielle.

Le Pacte pour l'avenir n'est pas la percée que beaucoup espéraient, mais il commence à dessiner les contours d'un nouveau système qui pourrait remédier aux lacunes de l'ancien.

Des obstacles demeurent sur la voie de la coopération: tensions autour des droits de l’homme, Ukraine, ou encore refus de la Chine de contribuer aux négociations pour une trêve au Moyen-Orient.

Les finances du FMI sont solides, ce qui n'est pas le cas de pays comme le Pakistan et l'Ukraine. Forcer ces pays à payer des surcharges onéreuses ne fait qu'alourdir leur fardeau.

Le concept du trilemme est devenu un moyen pratique de comprendre la réaction contre l’hyper-mondialisation, la sortie de la Grande-Bretagne de l’Union européenne, la montée de l’extrême droite et l’avenir de la démocratie dans l’UE.