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Le cartel a légèrement revu à la baisse ses prévisions de croissance de la demande pour 2019 et 2020, alors que des pays comme les Etats-Unis pompent toujours plus.

Le prince Abdel Aziz ben Salmane plaide pour l’absorption des excédents.

Le premier producteur d’Europe de l’Ouest a extrait 1,447 million de barils par jour (mbj) le mois dernier, contre 1,056 mbj en juin.

Les pays membres ont produit un total de 29,609 millions de barils par jour, soit 246’000 b/j de moins à cause de l’Arabie saoudite et de l’Iran.

Les analystes tablaient sur une hausse de 0,1% après une augmentation de 0,2% un mois auparavant. Parallèlement, la productivité s’avère plus soutenue que prévu.

Le tassement est essentiellement attribué à l’allégement des tarifs de la ferraille locale et des hydrocarbures importés.

La production des biens de consommation, qui avait rebondi en mai, est aussi restée stable. Et sur un an, elle diminue de 0,7%.

Le tassement est essentiellement attribuable aux prix des hydrocarbures, bruts ou dérivés, ainsi qu’à ceux des métaux et produits semi-finis.

Réunis à Vienne, les 14 membres de l'Opep et leurs dix partenaires, dont la Russie, ont approuvé une «charte de coopération» pérennisant leurs relations.

Les quatorze pays membres et leurs dix alliés «soutiennent tous la proposition» de garder le cap des limitations de production, a annoncé le ministre russe de l’Energie, après une première réunion à Vienne.