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Face à la prise de contrôle rampante dont il fait l’objet de la part de la banque italienne, le groupe allemand est sous pression pour offrir à ses investisseurs une perspective attrayante.

Forte d’un rebond des revalorisations immobilières à 11,6 millions de francs, après un résultat négatif de 7 millions un an plus tôt, Hiag a enregistré un résultat brut d’exploitation en hausse de 32,3% à 46 millions.

Le revenu des immeubles s’est inscrit à 176,2 millions de francs, en hausse de 7,9% par rapport à la même période en 2023.

Au premier semestre, le résultat d’exploitation progresse de 7% à 3,99 milliards de dollars. Le bénéfice net attribuable aux actionnaires bondit de 21% à 3,0 milliards. L’action clôture en baisse de 1,25%.

«Nous avons accompli d’importants progrès dans la mise en oeuvre de notre stratégie de redressement et jeté les bases d’une croissance future et d’une rentabilité durable», assure le directeur général Elmar Zumbuehl.

Les stratégistes pensent que les portefeuilles diversifiés, composés d’actifs alternatifs, surperformeront les portefeuilles traditionnels 60/40., selon les experts interrogés par le Natixis Investor Insight

Le chiffre d’affaires s’est étoffé de 6,1% à 1,7 milliard, ou +10,5% de manière organique, soutenu par l’ensemble des activités. L’action termine toutefois en légère baisse.

Au premier trimestre de l’exercice 2024/25, qui court d’avril à fin juin, le groupe a dégagé des ventes en hausse de 12% sur un an à 1,1 milliard de dollars.

Le spécialiste des fluides table désormais sur une progression des entrées de commandes de 9 à 12%, contre une hausse de 2 à 5% attendue jusqu’à présent.

«Nous souhaitons devenir un leader des service financiers en Europe et un acteur de référence des paiements fractionnés», a déclaré le président du directoire, Nicolas Namias.