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Le Brent valait 74,98 dollars vers 16h à Londres, en hausse de 41 cents par rapport à mercredi, après avoir culminé à 75,60 dollars vers 09h45 GMT, son plus haut depuis fin octobre.

En une décennie, la production devrait augmenter de 1,3 mbj, pour atteindre 5,9 mbj, indique un rapport de l’AIE.

L'offre serait supérieure à celle proposée par Chevron, qui avait offert 33 milliards de dollars, auxquels il faut ajouter 15 milliards de dette.

Les stocks de pétrole brut aux Etats-Unis ont enregistré une hausse plus forte que prévu la semaine dernière, selon les chiffres publiés par l’Agence américaine d’information sur l’Energie.

Le Brent valait 74,59 dollars à Londres, en hausse de 8 cents par rapport à mardi. Le WTI prenait 2 cents à 66,32 dollars.

«Les efforts des Etats-Unis en vue d’un boycottage des ventes de pétrole de l’Iran ne les mèneront nulle part», a prévenu le guide suprême iranien, l’ayatollah Ali Khamenei.

Le WTI reculait de 38 cents à 65,91 dollars dans les échanges électroniques en Asie. Le Brent cédait 40 cents à 74,11 dollars.

Le Brent a clôturé à 74,51 dollars à Londres, en hausse de 47 cents par rapport à lundi. Le WTI a gagné 75 cents à 66,30 dollars.

Le Baltic Dry Index a fini jeudi à 790 points, à son plus haut depuis près de trois mois, contre 726 points le vendredi précédent.

Le chef de la diplomatie saoudienne Ibrahim al-Assaf a exprimé la satisfaction «totale» de son pays après la décision américaine.