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La situation sanitaire déclenche des prises de profit sur les actions, repli des taux et plongeon de l’euro.

En apparence, la schizophrénie de la Fed face à l’inflation protège les marchés.

La communication de la BoE en dit long sur la réalité des mandats d’inflation.

Le S&P 500 au plus haut malgré les pressions renouvelées sur les taux.

L’aplatissement des courbes profite aux actions, malgré les tensions sur l’énergie.

La levée d’incertitudes permet un rebond des actions, mais le risque de stagflation plane.

Fin de trimestre difficile pour les actions sur fond de crise énergétique et croissance chinoise en berne.

La Fed et la BoE vont réduire leur soutien. Les actions, chahutées par Evergrande, résistent à la forte remontée des taux.

Les marchés intègrent le risque chinois, mais la recherche de rendement réduit encore les spreads en Europe.

L’inflexion dans le rythme du PEPP a eu peu d’incidences, mais le risque d’inflation persiste.