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Alors que les Américains n’ont jamais détenus autant d’actions, la dynamique négative des marchés US depuis le début de l’année risque de s’avérer préjudiciable pour le moral des ménages et leur propension à consommer.

Deux mois après l’investiture du nouveau président américain, l’Europe peut se réjouir.

«Le(s) S.T.A.R.S» sont les nouvelles coqueluches boursières. Derrière cet acronyme se cache Leonardo, Saab, Thales, Airbus, Rheinmetall et Safran.

Même à l'heure des IA les plus créatives, imaginer Donald Trump sous les traits d'un sage bouddhiste requiert une imagination fertile.

A l’aune de son premier mandat, il apparait pour Trump, que l’atteinte de son mantra «Make America Great Again» passe aussi par des marchés boursiers résilients.

Dans la mythologie nordique, le Rhin recèle un trésor: de l’or aux vertus magiques, conférant un pouvoir immense à qui le possède, à condition de renoncer à l’amour.

En ressortant à +0,5%, l’indice des prix à la consommation américain «CPI» du mois de janvier a bousculé les marchés mercredi 12 février.

Gérée par Pierre Schang (photo) et Alvaro Ruiz-Navajas, cette stratégie repose sur une méthodologie propriétaire de mesure de la biodiversité nommée Biodiversity Impact Reduction Disclosure.

La première salve n’aura pas traîné. Fidèle aux promesses énoncées lors de son investiture, Donald Trump a lancé sa politique de tarifs douaniers en signant, le 1er février, plusieurs décrets.

589 milliards de dollars d’abord. Soit la baisse de valorisation boursière dans la journée du 27 janvier qui a affecté Nvidia. Sans qu’un rebond significatif s’esquisse les jours suivants. Pourquoi un tel mouvement?