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Les prix du cacao ont commencé par chuter en début de semaine avant de se reprendre, puis ont dégringolé de plus belle. Les cours ont ainsi annulé près de la moitié de leurs gains de l’année à Londres comme à New York.

Les ressources minérales de ce gisement sont évaluées à 5 millions d’onces, soit 155,5 tonnes d’or, selon le président du groupe minier canadien Montage Gold.

Le prix du cacao s’est négocié à la baisse sur la semaine, après avoir atteint vendredi dernier un nouveau record historique à New York à un peu plus de 11’700 dollars la tonne, mais aussi à Londres, à près de 9’300 livres.

Le métal phare de la transition énergétique est particulièrement sous le feu des projecteurs depuis l’offre de rachat hostile du géant BHP sur son rival Anglo American.

«Si le monde s’oriente vers un avenir plus vert, le cuivre est le nouveau pétrole, et BHP veut une part du gâteau», affirme Kathleen Brooks, analyste chez XBT.

«L’application de filtres de qualité aux actions de croissance est susceptible de contribuer à garantir que les sociétés sont en bonne santé et en capacité de fournir de bons résultats au fil du temps», explique Pierre Debru.

A Londres, la tonne de cacao pour livraison en octobre s’envole de plus de 1000 livres en une semaine, à 8228 livres ce vendredi, contre 7078 livres le vendredi précédent.

Sur le LME, l’aluminium culmine à 2’728 dollars la tonne et le cuivre à 9’640,50 dollars, des records depuis juin 2022. Le nickel grimpe à un plus haut depuis septembre, à 19’355 dollars la tonne.

Le métal jaune monte ce vendredi à 2’431,52 dollars l’once, du jamais vu. Depuis début mars, le cours a grimpé d’environ 18%.

Le groupe lance, sous la supervision du directeur de la recherche Chris Gannatti, une stratégie sur les métaux liés à la transition énergétique, dont les terres rares.