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Sans surprise, le groupe a décidé de «réaffirmer le niveau de production globale de pétrole brut» convenu jusqu’au 31 décembre 2026.

Le blé a entraîné le maïs sur le marché européen, où la tonne est passée en sept jours de 207 à 197 euros pour une livraison en juin. Les prix du grain jaune de la nouvelle récolte (en septembre) résistent mieux, à près de 200 euros la tonne.

La rencontre par visioconférence est prévue à partir de 13h00 GMT (15h00 à Vienne, siège de l’Opep).

Vers 17h20, le Brent lâchait 1,47% à 63,79 dollars. Son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate, perdait 1,59% à 60,55 dollars.

Officiellement, le groupe justifie son changement de cap par des «fondamentaux de marché sains comme en témoignent les faibles réserves de pétrole» à travers le monde.

Portée par la dégradation de la note de la dette US, l’once d’or grimpe à 3327,59 dollars vendredi vers 13h20, contre 3203,65 dollars sept jours plus tôt à la clôture.

Le Brent termine sur une perte de 0,72% à 64,44 dollars et le WTI finit sur une dépréciation de 0,60% à 61,20 dollars.

Le Brent termine sur une perte de 0,72% à 64,91 dollars et le WTI finit sur une dépréciation de 0,74% à 61,57 dollars.

Vers 11h20, le Brent perdait à 0,20% à 65,41 dollars. Son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate, cédait 0,14% à 62,20 dollars.

Le Brent termine sur un sensible gain de 0,20% à 65,54 dollars et le WTI finit sur une faible appréciation de 0,32% à 62,69 dollars.