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Pour le chef économiste de Raiffeisen, la Banque nationale suisse n’aura plus besoin de procéder à d’autres relèvements cette année, ou alors de très peu.

Moins de pression du côté des fournisseurs, des soucis du côté des acheteurs. C’est un bon résumé de la situation actuelle.

Le couplage inqualifiable des loyers aux taux hypothécaires fait que la BNS se transforme paradoxalement en accélérateur de l’inflation, alors même qu’elle voudrait la freiner.

En des temps d’interventions sur les marchés des changes, de paquets fiscaux et de sauvetages des banques, il devrait rester un peu d’argent pour éliminer la pauvreté et pas «seulement» pour l’atténuer.

Les évolutions socio-démographiques ont un impact majeur et la numérisation change considérablement le tableau.

Avec la meilleure volonté du monde, je ne peux pas imaginer que le rachat forcé de Credit Suisse par UBS soit une œuvre suisse.

Le nouveau responsable prendra la tête du service Economic Research au 1er juillet 2023. Martin Neff, chef économiste de longue date, prendra sa retraite au cours du troisième trimestre 2023.

Quand on invite plus de 60'000 personnes dans un pays marqué par une pénurie de logements sans pour autant créer le parc de logements nécessaire, il vaudrait mieux faire profil bas.

Le lifestyle est l’incarnation de la surabondance et explique pourquoi nous sommes submergés par les déchets.

Pour Martin Neff, chef économiste du groupe Raiffeisen, l’immobilier restera attrayant en raison des rendements réguliers que ces placements sont capables de générer.