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Sur le segment du haut rendement, une certaine incertitude plane quant à l’avenir. Sujet hautement d’actualité, la récession porterait préjudice à ce segment obligataire.

Les spreads devraient commencer par s’élargir au premier semestre avant de se resserrer la seconde moitié de l’année.

Le passé nous apprend que toute période de performance particulièrement médiocre dans le domaine du haut rendement a toujours représenté un bon moment pour investir.

Le rebond estival des cours sur le segment obligataire n'a peut-être été qu'un feu de paille, car le mois de septembre est reparti sur la faible tendance premier semestre.

Bien prévoir l'évolution des fondamentaux d'une entreprise et son risque de défaut est un aspect clé de la gestion d'un portefeuille d'obligations à haut rendement.

Dans les pays émergents, en particulier en Asie, les taux de défaut excèdent ceux des marchés développés, mais dans l’ensemble, leur tendance devrait évoluer de manière positive.

On a plus à perdre à détenir des perdants qu’à gagner en détenant des gagnants.

Il existe de bonnes raisons de penser que le cycle de crédit n’a pas encore atteint son pic.

Après l'énorme propagation en mars, les valorisations se rapprochent à nouveau de leurs niveaux d'avant la pandémie grâce à une reprise sans précédent.

La hausse des prix du pétrole stimule les obligations à haut rendement dans le secteur de l'énergie.