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Cette nouvelle hausse est notamment due au secteur de l'hôtellerie et de la restauration.

Les opportunités offertes à certains pans de l'économie par la reprise de la pandémie l'emportent actuellement sur les pressions exercées par le contexte international.

Une hausse des taux d'intérêt de la BNS n'est attendue que lorsque la BCE aura relevé son taux directeurs. C'est ce que révèle une enquête du KOF, en collaboration avec la NZZ.

Le baromètre conjoncturel du KOF a baissé de 5,6 points en mars, passant de 105,3 (révisé de 105,0) à 99,7 points, soit sa moyenne de 100.

Le PIB ne devrait plus progresser que de 2,5% cette année, contre +2,8% dans les précédentes estimations, a indiqué le KOF.

Compte tenu de la grande incertitude politique liée à la guerre en Ukraine, le KOF présente deux scénarios dans ses prévisions de printemps.

Dans l’industrie manufacturière, parmi les secteurs du baromètre, c’est surtout l’industrie du papier qui signale une baisse par rapport au mois précédent, suivie par la métallurgie, l’industrie électrique et la rubrique «autres industries».

Certes, de nombreux travailleurs subissent actuellement une quarantaine ou un isolement, mais selon une question spéciale du KOF, les pertes de chiffre d’affaires dues aux absences du personnel restent limitées.

Cette nouvelle hausse est principalement due à l'industrie manufacturière et au commerce de gros.

Pour le moment, les perspectives conjoncturelles sont supérieures à la moyenne, même si la vague du variant Omicron pourrait encore provoquer des perturbations.