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Le bénéfice net de l’an dernier dépasse les 4 milliards d’euros, en hausse de 6,1%. Les analystes tablaient sur 3,95 milliards.

Le produit intérieur brut a reculé de 0,2% au quatrième trimestre, après -0,1% au précédent.

La banque italienne veut réaliser deux émissions obligataires d’un montant total de deux milliards d’euros d’une durée respective de 12 et 18 mois.

«Les ETF sont de plus en plus prisés car ils permettent aux investisseurs de construire des portefeuilles largement diversifiés et à faible coût», indique Simone Rosti, Directeur Italie.

L’agence de notation estime que le placement sous administration temporaire par la BCE augmente les risques pour les créditeurs seniors.

Les décisions de la BCE et du gouvernement italien ont de bonnes chances de modifier les risques pour les créanciers, selon l’agence de notation.

Un des trois administrateurs nommés le 2 janvier par la BCE martèle pourtant que la recapitalisation préventive n’est pas nécessaire.

L’établissement au bord de la faillite pourrait obtenir des garanties d’Etat ou des financements de la Banque d’Italie.

Cette hausse devrait se poursuivre. Le «spread» a nettement augmenté sur le marché secondaire, tandis que l’Etat a dû augmenter ses taux pour placer de nouveaux titres.

L’Italie accepte de tabler sur un déficit public à 2,04% du Produit intérieur brut, contre 2,4% au départ.