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Grâce au fournisseur de services de conservation d’actifs numériques basé à Lausanne, le spécialiste de la cryptomonnaie s’attaque à un marché qui devrait atteindre les 10’000 milliards de dollars d’ici 2030.

Les calculs du numéro un bancaire suisse intègrent divers éléments subséquents de l’exercice écoulé, notamment l’amortissement complet de 15 milliards de francs de titres de dette «additionnal tier 1 ou AT1» de Credit Suisse.

Dans le contrat d’achat de son ex-concurrent Credit Suisse (CS), le groupe bancaire UBS s’est couvert contre l’éventualité d’une contre-offre par une tierce partie.

L’organe de surveillance du n°1 suisse avait alors qualifié une telle opération de «non souhaitable», selon un prospectus d’acquisition déposé la semaine dernière auprès de la SEC.

Le nouveau CEO Sergio Ermotti indique que la banque attend toujours l’approbation des autorités de surveillance aux USA, dans l’UE ainsi que dans d’autres pays importants.

Pour un peu moins d’un demi-milliard de francs, le n°1 bancaire allemand renforcer sa présence auprès d’entreprises clientes au Royaume-Uni.

Le groupe assure dans une lettre ouverte être prêt à considérer de nouvelles améliorations à l’offre formulée en début de mois, qui doit notamment permettre d’autonomiser les activités liées au charbon et aux métaux.

China Investment Corporation (CIC) se serait prononcé en faveur de l’offre de rachat révisée de la société canadienne par le géant zougois, selon Bloomberg.

Une filiale à 100% du groupe bancaire public voit le jour sous le nom de CNP Assurances Holding. Elle est dirigée par le CEO de CNP Assurances Stéphane Dedeyan.

Tenant compte de l’hostilité de certains actionnaires face au charbon, le spécialiste des matières premières introduit une composante en numéraire dans son offre de reprise.